Un weekend à Berlin / A weekend in Berlin
(English version below)
Tu es venue à Berlin pour le weekend.
Il fait beau. On a ri, on a bu, on a beaucoup dansé.
Mais maintenant nous nous reposons.
Nous sommes dans un salon marocain, assis au sol.
Tu es assise près de moi. Contre moi.
Tu me caresses le torse. puis les cuisses.
On remarque tous les deux à travers mon short que je durcis. Alors tu me regardes bien dans les yeux, tu sors lentement ma bite, et tu commences à la branler.
Chaleur dans tout mon corps. Je gémis. tu respires dans mon oreille, de plus en plus fort.
Il fait chaud, tu commences a transpirer. ta peau glisse sur la mienne, et tu continues à me branler. Puis tu te mets en face de moi, pour bien me regarder dans les yeux. Mais tu ne la lâches pas. Tu craches dessus, tu baves tout ce que tu as de salive pour la lubrifier, puis tu reprends de lents mouvements. De bas en haut, puis de haut en bas.
Tu t’assois de face pour que je vois ta culotte trempée. Je vois très bien.
J’imagine très précisément à quoi ressemble ta chatte en voyant les replis de cette fine culotte en satin. Je vais enfin la voir.
Enfin, tu pousses ta culotte sur le côté.
Elle est trempée, luisante de bohneur.
"Carresse toi"
Tu t'adosses sur la table basse derrière toi, moi face à toi, contre le mur, sans que jamais nos regards se lâchent.
Et on commence à se branler en se regardant bien dans les yeux.
Et ça dure. Longtemps. Tes yeux vissés dans les miens.
Je vois dans tes yeux que tu vas jouir. Alors j'essaie de te rejoindre.
Je me mets un doigt moi aussi. ça t'inspire, tu commences à te doigter le cul, et ton regard devient encore plus pervers.
A ce moment là on sait tous les deux qu'on pourrait jouir en 10 secondes. Mais on ne veut pas, on fait durer.
J'ai le majeur tout au fond de mon cul, et toi tu te baises avec la télécommande.
Nous sommes méconnaissables, le visage transformé. Dégoulinants. Animals.
Puis te lèves d'un coup, en tu viens t'empaler sur ma queue.
Tu as les pieds au sol, et je te tiens pendant que tu fais des va-et-vient en t'écartant les fesses. Je suis dur comme du marbre. J'ai l'impression de remonter ton au fond de ton ventre, tout au fond de ton être.
Nous sommes tellement proches. Je peux entendre ton coeur battre. Des gouttes de sueur coulent de ton front sur mon torse.
Nos deux bouches s’ouvrent lentement, de plus en plus grand, nos regards verrouillés l’un dans l’autre, on va jouir.
Tu te retires juste avant, et tu me branles pour que je gicle sur nous. Il y en a partout, de nos ventres à nos mentons.
Tu m’embrasses.
Et alors, nous fondons.
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You've come to Berlin for the weekend.
It’s warm and sunny. We laughed, we drank, we danced a lot.
But now we're resting.
We're sitting on the floor of a Moroccan salon.
You're sitting next to me. Against me. Naked.
You caress my chest. And then my thighs.
We both notice through my shorts that I'm hardening. Then you look at me straight in the eye, slowly pull my cock out, and start wanking it.
My whole body heats up. You breathe into my ear, louder and louder.
It's hot, you start to sweat. Your skin slides over mine, and you keep jerking me off. Then you come in front of me, looking into my eyes. But you don't let go the cock. You spit on it, drooling all the saliva you have to lubricate it, then you start wanking slowly again. Up, down, and up again.
Now you sit, still facing me, so I can see your soaking panties. I can see perfectly well.
I can imagine exactly what your pussy looks like when I see the folds of those thin satin panties. I'm finally going to see it.
Finally, you push your panties to the side.
They're soaking wet.
"Caress yourself."
You lean back on the coffee table behind you, and I’m facing you, against the wall.
And we start jerking off, looking into each other's eyes.
And it lasts. Fo long. Your eyes deep into mine.
I can see you're gonna come. So I try to join you on the threshold of orgasm.
It inspires you, you start fingering your arse, and your gaze becomes even more perverse.
At this point we both know we could cum in 10 seconds. But we don't want to, we make it last.
I've got my middle finger deep in my arse, and you're fucking yourself with the remote control.
We're unrecognisable, our faces are transformed, dripping. Animals.
Then you suddenly stand up and come and ****** yourself on my cock.
Your feet are on the ground, and I'm holding you while you thrust back and forth, spreading your buttocks at the same time. I'm hard as marble. I feel like I'm going deep inside your belly, deep inside your soul.
We're so close. I can hear your heart beating. Drops of sweat drip from your forehead onto my chest.
Both our mouths open slowly, wider and wider, our gazes locked into each other, we're going to cum.
You pull out just before, and jerk me off so I spurt all over us. It's everywhere, from our stomachs to our chins.
You kiss me.
And then we melt.
Tu es venue à Berlin pour le weekend.
Il fait beau. On a ri, on a bu, on a beaucoup dansé.
Mais maintenant nous nous reposons.
Nous sommes dans un salon marocain, assis au sol.
Tu es assise près de moi. Contre moi.
Tu me caresses le torse. puis les cuisses.
On remarque tous les deux à travers mon short que je durcis. Alors tu me regardes bien dans les yeux, tu sors lentement ma bite, et tu commences à la branler.
Chaleur dans tout mon corps. Je gémis. tu respires dans mon oreille, de plus en plus fort.
Il fait chaud, tu commences a transpirer. ta peau glisse sur la mienne, et tu continues à me branler. Puis tu te mets en face de moi, pour bien me regarder dans les yeux. Mais tu ne la lâches pas. Tu craches dessus, tu baves tout ce que tu as de salive pour la lubrifier, puis tu reprends de lents mouvements. De bas en haut, puis de haut en bas.
Tu t’assois de face pour que je vois ta culotte trempée. Je vois très bien.
J’imagine très précisément à quoi ressemble ta chatte en voyant les replis de cette fine culotte en satin. Je vais enfin la voir.
Enfin, tu pousses ta culotte sur le côté.
Elle est trempée, luisante de bohneur.
"Carresse toi"
Tu t'adosses sur la table basse derrière toi, moi face à toi, contre le mur, sans que jamais nos regards se lâchent.
Et on commence à se branler en se regardant bien dans les yeux.
Et ça dure. Longtemps. Tes yeux vissés dans les miens.
Je vois dans tes yeux que tu vas jouir. Alors j'essaie de te rejoindre.
Je me mets un doigt moi aussi. ça t'inspire, tu commences à te doigter le cul, et ton regard devient encore plus pervers.
A ce moment là on sait tous les deux qu'on pourrait jouir en 10 secondes. Mais on ne veut pas, on fait durer.
J'ai le majeur tout au fond de mon cul, et toi tu te baises avec la télécommande.
Nous sommes méconnaissables, le visage transformé. Dégoulinants. Animals.
Puis te lèves d'un coup, en tu viens t'empaler sur ma queue.
Tu as les pieds au sol, et je te tiens pendant que tu fais des va-et-vient en t'écartant les fesses. Je suis dur comme du marbre. J'ai l'impression de remonter ton au fond de ton ventre, tout au fond de ton être.
Nous sommes tellement proches. Je peux entendre ton coeur battre. Des gouttes de sueur coulent de ton front sur mon torse.
Nos deux bouches s’ouvrent lentement, de plus en plus grand, nos regards verrouillés l’un dans l’autre, on va jouir.
Tu te retires juste avant, et tu me branles pour que je gicle sur nous. Il y en a partout, de nos ventres à nos mentons.
Tu m’embrasses.
Et alors, nous fondons.
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You've come to Berlin for the weekend.
It’s warm and sunny. We laughed, we drank, we danced a lot.
But now we're resting.
We're sitting on the floor of a Moroccan salon.
You're sitting next to me. Against me. Naked.
You caress my chest. And then my thighs.
We both notice through my shorts that I'm hardening. Then you look at me straight in the eye, slowly pull my cock out, and start wanking it.
My whole body heats up. You breathe into my ear, louder and louder.
It's hot, you start to sweat. Your skin slides over mine, and you keep jerking me off. Then you come in front of me, looking into my eyes. But you don't let go the cock. You spit on it, drooling all the saliva you have to lubricate it, then you start wanking slowly again. Up, down, and up again.
Now you sit, still facing me, so I can see your soaking panties. I can see perfectly well.
I can imagine exactly what your pussy looks like when I see the folds of those thin satin panties. I'm finally going to see it.
Finally, you push your panties to the side.
They're soaking wet.
"Caress yourself."
You lean back on the coffee table behind you, and I’m facing you, against the wall.
And we start jerking off, looking into each other's eyes.
And it lasts. Fo long. Your eyes deep into mine.
I can see you're gonna come. So I try to join you on the threshold of orgasm.
It inspires you, you start fingering your arse, and your gaze becomes even more perverse.
At this point we both know we could cum in 10 seconds. But we don't want to, we make it last.
I've got my middle finger deep in my arse, and you're fucking yourself with the remote control.
We're unrecognisable, our faces are transformed, dripping. Animals.
Then you suddenly stand up and come and ****** yourself on my cock.
Your feet are on the ground, and I'm holding you while you thrust back and forth, spreading your buttocks at the same time. I'm hard as marble. I feel like I'm going deep inside your belly, deep inside your soul.
We're so close. I can hear your heart beating. Drops of sweat drip from your forehead onto my chest.
Both our mouths open slowly, wider and wider, our gazes locked into each other, we're going to cum.
You pull out just before, and jerk me off so I spurt all over us. It's everywhere, from our stomachs to our chins.
You kiss me.
And then we melt.
5 月 前
