Une libertine qui se découvre

Acte 1

Sandrine a tout juste trente ans. C’est une femme pleine de dynamisme qui incarne cette nouvelle génération de femme active. Mariée depuis quatre ans, son couple en dépit de quelques soucis - disons normaux - va bien. Maman d’une petite fille de deux ans maintenant, Sandrine est tout aussi fière de sa réussite familiale que professionnelle : elle occupe depuis deux ans maintenant le poste de directeur administratif et financier dans une société de réassurance. C’est d’ailleurs lors d’un de ses nombreux déplacements professionnels qu’elle va découvrir certains plaisirs qu’elle ne soupçonnait pas et dans des circonstances complètement inattendues.

La réunion annuelle la plus pénible de l’année se tenait cette année-là aux Bermudes dans un de ces hôtels de luxe réservés aux réunions d’affaires et aux touristes milliardaires. Sandrine était arrivée dans la journée et, après s’être reposée quelques heures et s’être rafraîchie, elle décida de partir explorer ce superbe complexe.

Elle se sentait bien reposée maintenant. Les réunions professionnelles et autres présentations ne commençant que le lendemain, elle avait revêtu une petite robe légère qui mettait astucieusement en valeur de jolies petites gambettes fines surmontées d’un postérieur dont la cambrure, lorsqu’elle mettait cette robe, ne cessait d’attirer pour son plus grand plaisir les mains de son époux.

Mais ce que cette petite robe mettait le plus en valeur c’était une poitrine magnifique dont le volume (95D) laissait rêveur n’importe quel homme normalement constitué. Ce jour-là Sandrine n’avait pas mis de soutien-gorge ce qui entraînait une très charmante ondulation de ses seins à chaque pas. Les deux derniers boutons non attachés de sa jupe laissaient quant à eux la vision douce et sensuelle sur la naissance de ses seins.

La douceur ambiante la fit se diriger tout naturellement vers le bar pratiquement désert à cette période de l’année. Les serveurs furent aux petits soins pour cette belle plante, que cela amusa beaucoup… Un premier cocktail au rhum lui fut rapidement servi. Des flashs érotiques d’elle avec plusieurs serveurs traversèrent son esprit, ce qu’elle se reprocha immédiatement même si dans le même temps une douce chaleur vint irradier son bas-ventre et la força à resserrer les cuisses.

C’est à cet instant qu’elle sursauta. Quelqu’un venait de l’appeler depuis l’entrée du bar… C’était l’un des directeurs d’une des sociétés du groupe, Jeff : ce type avait toujours eu le chic pour la mettre très mal à l’aise par ses sous-entendus lourds et ses regards sans équivoque. Heureusement ce dernier était accompagné d’un des autres directeurs, ce qui la rassura.

— Comment allez-vous chère Sandrine ? Nous ne pouvions assurément pas laisser une aussi belle brune que vous seule au bar, dit-il immédiatement en louchant sur son décolleté.


Les salutations passées, la discussion sur l’hôtel et sa situation commença. Sandrine était finalement à son aise et trouva même très sympathique la présence de ces deux directeurs quinquagénaires. Les voir papillonner autour d’elle l’amusa - l’excita ? - beaucoup ; là encore des images érotiques… voire carrément cochonnes se bousculèrent dans son esprit… Elle eut beaucoup de mal à les évacuer, en avait elle envie d’ailleurs ?

Alors qu’ils allaient se séparer, le second directeur leur proposa de venir boire un verre dans sa chambre, une suite, en fait, dont il avait apparemment bénéficié lors de l’attribution des chambres.

Cette suite était magnifique. Sandrine, que les trois cocktails au rhum avaient gentiment grisée, s’écroula sur un canapé moelleux. Une bouteille de champagne fut immédiatement ouverte et avant qu’elle ait pu s’en rendre compte une coupe de champagne à la main elle se retrouva entourée et serrée même d’assez près par les deux directeurs…

Puis les choses s’enchaînèrent très rapidement.

Une main, épaisse, chaude, virile, toucha sa cuisse découverte par la robe remontée trop haut. Le hasard ? Non puisqu’elle revint presque immédiatement pour saisir cette fois franchement la cuisse douce de Sandrine. Celle-ci voulut réagir. Montrer qu’elle était une femme sérieuse et… mariée… Mais elle n’en eut ni la force, ni le courage, ni l’envie. Toutes les frontières de son éducation venaient de s’envoler. Elle écarta les cuisses et s’entendit demander à François, le second directeur, ce qu’il faisait et jusqu’où il comptait encore monter comme ça.

Pendant ce temps, Jeff, pas en reste, avait entrepris de lui caresser les seins et de lui déboutonner sa robe. Sandrine se retrouva alors soumise aux caresses de quatre mains d’hommes matures. Très excitée, elle s’entendit leur dire qu’ils étaient de sacrés polissons sans pour autant les repousser.

Elle était aux anges : Jeff lui caressait et lui léchait les seins pendant que François, deux doigts dans son puits d’amour venait de s’agenouiller entre ses cuisses pour lui titiller le clitoris du bout de la langue. Tout dans la pièce n’était que soupirs et gémissements.

Sandrine enleva la chemise de Jeff ; elle admira un corps entretenu et un torse recouvert de poils grisonnants : elle y passa une main fébrile et pleine d’envie avant de la diriger vers le pantalon, d’où elle extirpa un sexe impressionnant tant par le diamètre que la longueur, un véritable pieu de chair qu’elle se mit à masturber avec une grande douceur.

Sa main passait rapidement de la queue aux couilles. Jeff pointa alors son dard vers la bouche de la belle, excitée, qu’il avait toujours eu envie de sauter.

« Quelle belle cochonne ! » pensa-t-il.

Sandrine commença par couvrir le gland impressionnant de baisers puis entrouvrit la bouche pour commencer à le sucer plus franchement. De son autre main, elle appuyait la tête de François sur sa chatte poisseuse. Ce dernier ne restait pas inactif : il passait sa langue de la chatte à son petit trou ce qui avait pour effet d’accentuer un déhanchement non contrôlé de la jeune femme. L’introduction même de sa langue dans son petit trou semblait particulièrement lui plaire.

Sandrine était tout bonnement intenable. Sa bouche occupée par la queue de Jeff, elle poussa ses caresses vers la raie culière pour lui caresser son petit trou. L’homme apprécia d’autant plus lorsque Sandrine y introduisit un doigt. François vint également présenter sa queue à la belle bouche de la jeune femme, si bien que cette dernière alterna entre deux queues assez similaires.

À un moment elle les mit même toutes les deux en bouche en même temps : cela l’excitait comme une folle de voir ces deux beaux glands frottés l’un contre l’autre pour ne former qu’une seule queue géante. Elle ne se maîtrisait plus, elle avait envie de boire leur foutre, de se faire asperger comme la dernière des dernières. Les deux quinquagénaires lui éjaculèrent alors dessus. Pour la première fois elle eut envie de goûter du sperme, ce qu’elle fit.

Jeff reprit la bouteille de champagne et versa son restant sur la poitrine de Sandrine qui se mit à se caresser de manière provocatrice. La scène, ô combien érotique, fit vite retrouver leur forme aux deux hommes qui sans autre forme de procès s’attaquèrent à cette belle mère de famille. Sandrine s’assit donc sur François et cambra au maximum son postérieur afin que Jeff la pénètre par la croupe.

Mais ce dernier n’avait pas la même idée. Il s’introduisit donc également dans le sexe de Sandrine. Quelle sensation de plénitude pour cette jeune femme ! Quel moment grisant que de se sentir investie de la sorte par deux mâles matures ! Le rythme soutenu de ses deux assaillants faisait outrageusement ballotter sa forte poitrine, pour le plus grand plaisir de François qui n’en perdait pas une miette.

Jeff, non content de cette situation, poussa même jusqu’à introduire un puis deux doigts dans l’anus accueillant de notre belle. Et c’est ainsi dilatée qu’elle reçut le sexe turgescent de Jeff dans son joli postérieur. Son membre une fois de plus fut suivi par celui de son collègue. Sandrine, comble du comble, se retrouvait ainsi, pleine et heureuse avec deux sexes volumineux dans l’anus : une double sodomie, jamais, même dans ses rêves érotiques les plus fous, elle n’avait imaginé que cela fut possible. Même si l’introduction du second sexe fut un peu difficile la satisfaction qu’elle en ressentait maintenant dépassait de loin tout ce qu’elle avait pu éprouver jusque là.

Pendant près de quinze minutes, les deux hommes firent coulisser les queues dans le conduit anal de Sandrine, conduit qui avait pris des proportions jamais atteintes. Tantôt alternativement, tantôt simultanément, les membres pénétraient le postérieur accueillant et cambré de Sandrine, en sueur, avide de sexe. L’excitation de la belle brune était double puisque non seulement physique ; le fait que deux grosses bites se frottent l’une à l’autre dans son cul l’excitait follement. Enfin les deux hommes se vidèrent dans son intestin, et, se retirant, ils laissèrent place à un anus béant complètement dilaté.

Les deux hommes admiraient leur œuvre. Sandrine sur le ventre, les regardant radieuse, le postérieur toujours ondulant et l’anus encore entrouvert. Une seconde bouteille de champagne fut commandée. François ne put s’empêcher de caresser à nouveau cette superbe créature. Elle s’endormit confortablement installée entre les deux hommes, eux aussi épuisés par un trio dont ils ne croyaient plus qu’il fut possible d’être acteur.



Acte 2



Le réveil du lendemain rappela le trio à la réalité. Quelqu’un frappait à la porte. Le locataire officiel de la chambre enfila rapidement un peignoir et s’entretint avec son interlocuteur. Lorsqu’il revint, François annonça avec un sourire narquois qu’en raison de conditions météorologiques inattendues, aucun avion ne pouvait atterrir. Conséquence : plus de réunion, tout était reporté à dans trois semaines minimum, dans un autre endroit.

En écoutant la nouvelle, Sandrine sentit la queue dure et chaude de Jeff se caler entre ses fesses. D’instinct elle se cambra, le souvenir de cette folle soirée de la veille reprenait forme dans son esprit. Comment avait-elle pu se donner ainsi, annihilant tous ses tabous ? Elle avait pourtant aimé, adoré ce à quoi elle avait été soumise, son corps même en redemandait.

Déjà la queue de Jeff s’introduisait dans son anus toujours distendu par la double pénétration de la veille. Une onde de plaisir immédiat envahit ses reins.

« J’aime la sodomie, j’aime me faire enculer ! » se dit-elle alors, presque surprise de cette seconde découverte. Elle avait toujours refusé cette porte à son mari, trouvant cela sale et rabaissant. Et maintenant elle adorait, allant même au-devant de cette tranquille pénétration, de ces chauds va-et-vient.

François avait laissé tomber son peignoir et présentait à Sandrine son membre dressé pour qu’elle le prenne en bouche. Cette queue était un pur délice. Elle caressa du bout des doigts les couilles tendues et légèrement velues de son amant. Tout en le suçant, Sandrine regardait François dans les yeux, soumise. Cette bite dans le cul lui faisait un bien fou. C’était comme si des années de retenue s’étaient envolées.

Après quelques minutes de ce traitement elle attira son amant dans son sexe. Elle mourait d’envie d’être prise en sandwich. Jeff se plaça donc sur le dos, Sandrine vint s’enfourcher sur ce beau sexe et François se plaça derrière elle, la sodomisant sans autre préparation…


La douche fut elle aussi très câline. Vers midi, ils décidèrent de descendre déjeuner ensemble et c’est là qu’une révélation fut faite à Sandrine. Alors qu’elle descendait aux toilettes du restaurant, un jeune homme noir l’interpella. Il lui demanda si les cocktails de la veille au soir avaient donné les effets attendus. Elle ne comprit pas dans un premier temps puis le jeune homme lui expliqua que ceux qu’elle avait bus étaient les « cocktails des mariés », contenant un réel aphrodisiaque facilitant les "rapprochements humains".

Sandrine comprit alors l’attitude bienveillante des serveurs la veille au soir mais surtout son attitude et celle de ses deux amants. Toutefois cet aphrodisiaque n’avait qu’une durée limitée dans le temps et ce matin son effet avait normalement totalement disparu.

Le serveur la dévorait du regard… une fois de plus son bas-ventre se tordit d’envie. Elle entraîna le jeune homme dans un endroit plus tranquille, à l’abri des regards, et s’agenouilla devant lui pour le sucer. Sa queue était d’une taille impressionnante. Rapidement, il éjacula, la « forçant » à tout avaler, ce qu’elle fit sans opposer aucune résistance.

Il lui expliqua ensuite rapidement que si elle aimait avoir plusieurs amants en même temps, il pouvait lui organiser une rencontre avec certains de ses collègues de l’hôtel. Sandrine accepta pour le soir même, répondant au jeune homme qu’elle lui laissait le choix du nombre.

L’après-midi et le soir Sandrine resta seule dans sa chambre prétextant un terrible mal de tête. En fait, elle se reposait et se préparait. À l’heure prévue on frappa à sa porte : elle reconnut la voix du jeune serveur lui annonçant que son "room service" était là. Le trac au ventre, Sandrine alla ouvrir, en peignoir. Sans bruit, c’est une dizaine de jeunes hommes qui s’introduisirent dans la chambre. Très gentiment, Wallas, l’organisateur, fit les présentations. Sandrine ne savait vraiment pas quelle contenance se donner.

Rapidement les dix hommes se retrouvèrent nus et se placèrent en cercle autour d’elle. À genoux, elle empoigna leurs sexes pour les masturber à tour de rôle… Les premiers soupirs commençaient à se faire entendre. Ensuite elle se mit à les sucer : dix bites se frottaient à elle, avides de caresses. Elle reconnut parmi ces hommes, tous noirs, des serveurs du restaurant, un jardinier, un réceptionniste et un garçon d’étage.

L’un d’eux se glissa sous elle et vint lui lécher la chatte et le cul ; un autre se mit à genoux en face d’elle - et surprise ! - l’aida à sucer et masturber les autres hommes. Cette "simple" vision lui procura un premier orgasme : elle n’avait jamais vu d’homme bi. En voir un bi en action en face d’elle l’excita au plus haut point.

Les autres orgasmes se succédèrent tout au long la nuit. Les dix hommes la prirent successivement dans toutes les positions, toutes les pratiques possibles furent tentées : elle fut ainsi honorée toute la nuit sans interruption. Ces jeunes noirs, débordant d’imagination, la prirent en sandwich, en double vaginale, en double anale ; elle avait systématiquement une queue dans la bouche et une dans chaque main.

Lorsque le jour se leva, elle était épuisée et recouverte de sperme, et s’endormit sur le tapis au pied de son lit. Ce fut finalement la queue de Jeff qui, quelques heures plus tard, s’introduisant dans son anus la fit se réveiller. Une femme de chambre, dont il avait réussi à se procurer les faveurs, l’avait fait entrer.

Cette dernière, la quarantaine, forte poitrine et large hanches, le corsage largement ouvert et la jupe retroussée sur le dos était en train de subir avec joie les assauts d’un François en pleine forme.

Ce séjour se termina le soir même où l’aéroport fut rouvert. Épuisée, Sandrine dormit pendant tout le retour et retrouva avec joie sa petite famille. Elle repensait à ce qu’elle avait vécu comme si ça n’avait été qu’un rêve… mais déjà l’envie de recommencer la tenaillait.
发布者 hondo1906
6 年 前
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Josbarley
Super récit bien bandant . Merci 
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marco33730
C est une magnifique histoire d une femme qui se devergonde on adore
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Une superbe histoire très excitante !
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